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Marseille
Tour d’horizon historique

Découvrez Marseille autrement avec NosVillages.com : chaque quartier dévoile ses secrets, de la Canebière historique aux calanques. Une plongée rapide et passionnante dans l’âme de la cité phocéenne.

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A VOIR, A FAIRE

• VIEUX PORT 

Lieu emblématique de Marseille, le Vieux-Port est le cœur historique et culturel de la ville depuis l'Antiquité. Ancien centre économique ouvert sur la Méditerranée, il est aujourd'hui un port de plaisance et un lieu de rassemblement populaire. Il abrite aussi un pôle de transports avec métro, bus, ferry-boat et navettes maritimes. La traversée en Ferry Boat, gratuite, est la plus courte liaison maritime du monde. Depuis le Vieux-Port, des bateaux mènent au Frioul, au Château d’If et aux calanques.

• RUE PARADIS

Ce quartier de Marseille portait le nom de Paradis dès 1044, car il y avait un prieuré du nom de Saint-Pierre de Paradis. La rue Paradis ou se situe de nombreuses boutiques de luxe est une voie qui traverse les 1er, 6 ème et 8 ème arrondissements de la ville de Marseille. Elle va de la place du General de Gaulle à l’avenue du Prado. Il s’agit de la plus longue rue de Marseille avec sa distance de 2870 mètres.

• RUE BRETEUIL

Doit son nom à Louis Auguste Le Tonnelier, baron de Breteuil, Ministre de Louis XV, qui contresigna les lettres patentes du roi, autorisant la Marine à vendre les terrains et immeubles de l’arsenal des galères. Parallèle à la rue Paradis.

• CASTELLANE 

Créée en 1725, cette place doit son nom au marquis Castellane qui y possédait un domaine rural. Aménagée au début du 19 ème siècle, en 1911 est édifiée la fontaine offerte par Jules Cantini et sculptée par André Allar.

• OPERA

Le magnifique Opéra municipal de Marseille fut inauguré en 1924. Il fut construit sur l’emplacement du grand Théâtre de Marseille datant de 1787. Gaston Castel en est l’architecte.

• PLACE THIARS

Collée au cours Estienne d’Orves, cette jolie place avec sa fontaine et ses arbres, rassemble de très nombreux restaurants et tient son nom d’Henri Charles Thiard Lieutenant Général Commandant en chef de Provence de 1782 à 1788, propriétaire de la maison, où se tenaient les bureaux de la douane.

• CATHEDRALE DE LA MAJOR

La cathédrale Sainte-Marie-Majeure souvent appelée la Major, est la Cathédrale catholique de l’archidiocèse de Marseille.La Major a été construite en style néo-byzantin entre 1852 et 1893. Située dans le quartier de la Joliette, elle se dresse sur l’ancien emplacement de l’ancienne cathédrale du XIIe, d’où vient le nom occitan de “Major”. Elle a été érigée en basilique mineure en 1896.

• HOTEL DIEU DE MARSEILLE

L’Hôtel-Dieu de Marseille a été construit à partir de 1753 par l’architecte marseillais Claude-Henri-Jacques d’Aggeville. Cet établissement a servi à la fin du XXe à l’enseignement de professions médicales et paramédicales jusqu’en novembre 2006, avant d’être transformé depuis 2013 en palace 5 étoiles.

 

• MUCEM

Le musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerrannée est un musée national, installé dans le Fort Saint-Jean et dans un nouveau bâtiment construit sur l’esplanade du J4 par l’architecte Rudy Ricciotti, les deux édifices étant relié par un pont au-dessus de l’eau. Le MUCEM recueille les collections du Musée national des Arts et traditions populaires fermé en 2005 et est orienté vers les cultures méditerranéennes.

 

• VILLA MEDITERRANEE

Également située sur le J4, à proximité du MUCEM, la villa Méditerranée est un “centre international pour le dialogue et les échanges en Méditerranée” créé par le Conseil régional PACA. Elle prend place dans un bâtiment en forme de L renversé au-dessus d’un bassin conçu par l’architecte Stefano Boeri et accueille des salles de travail et de réunion, des espaces d’exposition et un amphithéâtre. 

 

• LE PANIER

Le nom du Panier viendrait d’une auberge ayant comme enseigne un panier. Elle donnera son nom à la rue où elle est établie, la rue du Panier, puis au quartier. Dans cet espace se trouvent trois collines : la butte Saint-Laurent, la butte des Moulins et la butte des Carmes. La ville de Marseille s’est développée à l’intérieur de ce territoire, clos par des remparts du VI ème siècle av JC , jusqu’au XVIIe, lorsque Louis XIV ordonne une première extension de la ville.

• LES DOCKS

Les Docks de Marseille étaient autrefois des entrepôts et aujourd’hui des bureaux appartenant au quartier de la Joliette à Marseille. Ils furent construits de 1858 à 1863 selon le modèle des docks anglais, et constitués de cinq bâtiments de six étages pour une longueur totale de 365 mètres. Au cœur d’Euroméditerranée, 

cet ensemble immobilier accueille 220 entreprises employant 3 500 personnes : sièges sociaux, directions régionales, restaurants, prêt à porter, décoration, galerie d’art, alimentation, cave à vin, bijouterie...

• L’ESTAQUE

Estaque, estacade, appontement où s’amarrent les bateaux. Estac, pieu, ou dans l’eau proche du rivage, où les 

pêcheurs attachent leurs embarcations. L’estaque important port de pêche, qui s’est développé au cours des siècles passés, par la fabrication de tuiles. Souvent divisé en Estaque-plage le quartier historique des pêcheurs au bas de la colline et le long du littoral, et Estaque-Gare, plus en hauteur, cette partie s’est développée au XIXe autour de la gare.

• LE ROVE

Le Rove faisait partie de la seigneurie de Marignane au même titre que Saint-Victoret et Gignac. A son apogée, cette seigneurie allait jusqu’aux calanques méditerranéennes. Vous pourrez admirez ses deux calanques La Vesse et Niolon et profites des commerces en centre ville. Patrimoine : Canal du Rove - Chapelle Saint Michel XII/XIIIe - Fort de Niolon - Eglise Sainte Anne - Fort de Figuerolles - Le Camp de Laure - L’Oppidum de la cloche. La Brousse du Rove faite par les chèvres (race caprine) et un couple d’aigle de Bonelli (espèce protégée

 

• SAINT-HENRI

Le 12 janvier 1747 acte de fondation de la paroisse de Saint-Henri, détachée de Saint-André baptisée de ce prénom en honneur de Mgr Henri de Belsunce. Au sein du quartier de Saint-Henri existe un cinéma “d’art et essai” : L’Alhambra.

 

• SAINT-ANDRE

Ce nom correspond à André, l’un des apôtres, pécheur de son état et l’un des disciples privilégiés de Jésus Christ.

• VISITE DE L’ATELIER DES PEINTRES DE L’ESTAQUE VILLA BELLEVUE

Cézanne, Braque, Marquet, Renoir, Othon Friesz, Derain, Dufy, Signac, Monticelli, Charles Cross, etc... Pour les amateurs de peinture, l’Estaque est avant tout l’un des lieux de naissance de la peinture moderne. De Collioure à Menton, les sites ne manquent pas qui ont attiré de grands peintres. Mais ici, les peintres se sont succédés durant 60 ans (1860-1920). Impressionnisme, fauvisme, cubisme : le nom de l’Estaque est associé à ces trois époques. Un circuit pédestre permet de raconter l’histoire de ce quartier populaire à l’âme forte et bigarrée, peu différent au fond de celui que les peintres ont connu et aimé.

 

• SAINT-BARNABÉ

Le 17 décembre 1472 Barnabé Capelle, notaire à Marseille, achète une terre dans les parages de la Fontaine de Pairat. Il offre le retable de la chapelle du lieu, après avoir participé à l’édification de celle-ci. En mémoire de sa générosité la chapelle prend le nom de ce Saint et par la suite tout le quartier. En 1666 est construite une église en remplacement de cette chapelle, elle est démolie vers 1890 avec l’édification de celle dont les travaux ont commencé en 1846. Œuvre de l’architecte Pascal Coste, bénie en 1848 par Mgr de Mazenod.

 

• MONTOLIVET

L’origine de ce nom, très ancien, est controversée par les historiens. Les uns pensent qu’il provient de la famille de Montolieu. D’autres que ce lieu a été appelé ainsi à cause de sa ressemblance avec le mont des oliviers de Jérusalem.

• LA PREFECTURE

Doit son nom à l installation en ce lieu, de la Préfecture du département des Bouches du Rhône. Son bâtiment 

toujours visible aujourd’hui fut construit de 1861 à 1869 selon les plans de l’architecte Auguste Martin. Il est 

possible d’en visiter certaines parties durant les journées du patrimoine.

 

• LA CANEBIERE

Canebière vient du provençal “Caneb”, chanvre. En effet Marseille était l’un des plus grands comptoirs de chanvre au monde, et la Canebière était le lieu où l’on entreposait cette matière pour diverses fabrications notamment celle des cordages. Cette artère du centre de Marseille mesurant 1km, va des Réformés au Vieux port et englobe, depuis1927 la rue Noailles et les allées de Meilhan.Bien connue des Marseillais elle est aussi très populaire en France.

• LA PLACE ESTIENNE D’ORVES

Le Cours Honoré d’Estienne-d’Orves est une célèbre place piétonne touristique de Marseille au cœur du quartier des Arcenaux, à deux pas du Vieux port, elle porte le nom de l’officier de marine français, héros de la Seconde Guerre mondiale, martyr de la Résistance Honoré d’Estienne d’Orves. Après diverses occupations, en 1702 un canal intérieur est creusé, qui prendra en 1780, le nom de canal de la Douane. Pendant plus d’un siècle l’arsenal de Marseille ou Arsenal des galères mis en place sous Louis XIV est achevé en 1707, occupera cette espace, il est alors le plus important de France avec jusqu’à 40 galères en service. Les seuls vestiges de l’Arsenal qui restent visibles sont un bâtiment dénommé “la capitainerie”, monument historique depuis 1978. Le canal de la Douane fut comblé entre 1927 et 1929. Aujourd’hui c’est une place touristique majeure de Marseille où s’étendent aux beaux jours de nombreuses terrasses de bars, cafés et restaurants, des manifestations 

culturelles, des galeries d’art, ainsi que patinoire, foire aux santons et le marché de noël en hiver.

• SAINT-LOUP

Cette appellation apparaît à la fin de la première moitié du XVIe sans que l’on connaisse l’origine de ce nom,

auparavant cette agglomération était nommée Saint-Thys. Au début du XVIe, le Couvent est agrandi vers le Sud et commence à être appelé Saint Loup. Le nom de Saint Loup ne sera évoqué officiellement pour la première fois que le 31 mars 1531, dans une acte passé par devant Maitre Jean Massatelli, notaire à Marseille : “le monastère de Saint-Victor donne en bail à Bernard Zarbin une vigne située à Saint-Loup, à la censive de trois patas à l’office de la Trésorerie. Il s’agit probablement d’une allusion à l’évêque de Troyes qui au Ve siècle, alla au-devant d’Attila et obtint qu’il épargne sa ville mais l’Église catholique romaine reconnaît plusieurs autres Saint-Loup. Les noms de Saint-Loup, Saint-Thys et Saint-Tronc cohabiteront jusqu’en 1666 pour désigner le même village.

 

• LA POMME

D’après l’historien Ruffi une auberge à l’enseigne de “hôtellerie de la Pomme” aurait donné le nom à ce village. Fin du siècle dernier et jusqu’à la première guerre mondiale, les restaurants de La Pomme avaient la renommée des “pieds et paquets”. L’église date de 1670 sous le vocable de Notre-Dame de Lumière

dédiée à Saint-Dominique à cause de cet ordre qui s’établit en ce lieu fin XVe.

• LES GOUDES

Situé juste en face des îles Tiboulen et Maïre, à proximité de la splendide île de Riou, le village des Goudes tel que nous le voyons de nos jours, est bâti à partir de 1930. La majeure partie de ce territoire avait été achetée fin XIXe par Jacques Delrieu à la Société Civile du Chemin de fer des Ports Sud. Avant cette époque ce hameau industriel comptait,dans la deuxième partie du XIXe siècle,une fabrique de produits chimiques, une d’affinage de plomb et une raffinerie de souffre. Le nom des goudes viendrait de la déformation du provençal “l’aïgoudo” (la source) en effet au 18e, Saint Michel d’eau douce était semble-t-il le lieu d’approvisionnement en eau pour les bateaux et les quelques passants qui se risquaient dans ces parages.

• LA VIEILLE CHAPELLE

Ce quartier est ainsi nommé d’après une chapelle dédiée à la Nativité de la Très-Sainte-Vierge, chapelle qui disparue en 1863 et qui était située face à la mer aujourd’hui devenu un parking.

 

• LE LAPIN BLANC

Ce quartier doit son nom à un établissement de boissons à l’enseigne “au lapin blanc” qui existait au début du XXe, à l’embranchement du bd sablier et du bd des Joncs.

 

• LA POINTE ROUGE

Il faut aller chercher l’origine de ce nom avant la construction du grand port de plaisance en 1964. Avant d’être 

recouverte par ce dernier , une petite pointe rocheuse constituée de sédiments, d’un rouge brun plutôt foncé, séparait deux plages, dont une seule est depuis conservée.

 

• CALLELONGUE

Calenque “kala”, pierre, longue pierre, calenque étendue en longueur.

 

• SORMIOU

Cette calanque de la côte de Marseille est encadrée par les deux presqu’îles formées par la crête de Sormiou et par la crête de Morgiou.La calanque de Sormiou est l’une des calanques les plus fréquentées par les Marseillais. Elle est facilement accessible aux véhicules en dehors de la saison estivale, par la Cayolle, son accès est également possible à pied depuis les Baumettes, par des sentiers. Bien qu’il se situe à quelques minutes de la ville, le col de Sormiou ressemble à un col de montagne. L’arrivée au col réserve une vue imprenable sur la mer et les îles (Riou, Plane et Jaïre). La calanque de Sormiou est une des seules calanques

habitée (une centaine de cabanons) et elle dissimule un petit port protégé par une digue.

 

• LA MADRAGUE

Ce nom provient d’un privilège donné aux pêcheurs, la madrague étant une enceinte de filets servant à la pèche aux thons et aux muges. Filets divisés en plusieurs compartiments dont chacun porte un nom particulier. Ce bord de mer était, jusque dans les années 20, habité par des pécheurs,mais surtout par les 

familles des ouvriers des fabriques de produits chimiques des Goudes et de l’Escalette, c’est pourquoi cette voie était nommée chemin de la Fabrique (de la soude) de Montredon.

 

• LES OLIVES

Tiens son nom d’un possédant nommé Simon Olive qui eut une nombreuse descendance, formant un hameau qui prit le nom des olives.

• EOURES

Son nom viendrait de Euse : Chêne vert présent dans cette partie de Marseille.

 

• LES ACCATES

Deux explications possibles à ce nom. Acata en provençal signifiant caché, à l’abri ou bien tiré de acaptes ou achapte toujours du provençal c’est à dire céder à bail emphytéotique.

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