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Cagnano

Porticciolo, Suare, Ghilloni, Ortale, 

Adamo, Piazze, Terre Rosse, Carbonacce

Cagnano, 172 habitants permanents (2020) étend son territoire sur 1472 hectares (14,7 km²) Celui-ci s’ouvre, au sud, par la Tour de Losse (XVIe siècle) et se termine, au nord, après une longue plage de sable. Les neuf hameaux (en comptant la marine de Porticciolo) s’étagent de la mer jusqu’en haut de la vallée (350 m d’altitude).

La découverte d’une nécropole de l’âge du fer datant de 500 av. J.-C. Au XIIe siècle, la puissante famille des seigneurs d’Oveglia va dominer cette partie septentrionale du Cap Corse et profiter de sa position stratégique en élevant un castello dont il reste quelques vestiges. Par la suite, c’est l’amiral génois Ansaldo da Mare qui récupère ce territoire pour l’insérer dans la puissante seigneurie de San Colombano qu’il fonde en 1246. Non loin du castello d’Oveglia fut fondé un couvent de Capucins qui se distingua par le nombre et le talent de ses maîtres ébénistes. Au début du XVIIe siècle, plusieurs familles cagnanaises s’implantent en Amérique du Sud et développent de vastes réseaux commerciaux. L’un de leurs membres, Antonio Diaz Corzo, deviendra le plus grand bienfaiteur de Cagnano par la fondation d’une œuvre caritative. Au XIXe siècle la commune connaît un développement agricole exceptionnel. On dénombre, en 1850, 150 hectares de vigne, et à la même date, un inspecteur général de l’agriculture en visite dans la vallée, ne tarit pas d’éloges : « Voyageurs, écrit-il, contemplez ces terrasses élevées au prix de tant de sueurs et complantées de vignobles sur le versant oriental. (…) Les oliviers règnent en maître au bas de la vallée; dans les bons coins de la plaine, le blé, l’orge alternent avec le maïs et les pommes de terre… ». Aujourd’hui la commune a l’apparence d’un grand espace boisé qui a su se protéger du mitage pavillonnaire. Il reste encore, au hameau de Terre Rosse, un moulin à châtaignes et à huile qui fonctionne encore chaque année.

Mais Cagnano, par son ouverture sur la mer Tyrrhénienne, a joué la carte maritime. Le chantier naval de Porticciolo a fonctionné de la fin du XVIIIe siècle jusqu’en 1875. La pêche a connu sa période florissante jusque dans les années 70. Le développement touristique a pris le relais avec, notamment, en 2018, l’ouverture, sur le site du Caribou, du seul hôtel-restaurant 5 étoiles du Cap Corse.

INFORMATIONS

• Mairie : 04 90 68 04 13 - mairie@lourmarin.com 

• Office de tourisme : 04 90 68 10 77 - lourmarin@luberoncoeurdeprovence.com

• Médiathèque : 04 90 68 31 81 - mediatheque.lourmarin@c-lmv.fr

• Pharmacie : 04 90 68 20 25

• Distributeur automatique : oui

• Garages : Ferraiuolo, Lubauto et Lourmarin Services

• Jour de marché : vendredi matin

• Marché de producteur : tous les mardis du 17 avril au 18 Décembre de 17h30 à 20h30

• Cuisiniers du marché : chaque mardi, à partir de 18h30 sur l’ancien quai de déchargement de la coopérative

A VOIR, A FAIRE

• Le château de Lourmarin (XVe) : Le corps le plus ancien du Château a été construit au XVe par Foulques         d’Agoult, sur les ruines d’une forteresse du XIIe siècle. A la fin du XVIe, l’édifice devient la propriété des Créqui-Lesdiguières. A la fin du XIXe, le Château-Vieux tombe en ruines. En 1920, Robert Laurent-Vibert, industriel lyonnais, propriétaire des Pétroles Hahn, le restaure jusqu’en 1923 et meurt en 1925. Il devient Fondation de Lourmarin Robert Laurent-Vibert, reconnue d’utilité publique dès 1927. Il sera classé monument historique en 1973.

• Les Lauzières : nécropole remontant au Néolithique final/Chalcolithique

• Un oppidum protohistorique : Castel Sarrazin

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